Dans quel cas peut-on avoir le droit de permission parentale ? Un salarié peut bénéficier d’un congé parental, avec au minimum, une année d’ancienneté au sein de l’entreprise. Pour le père ou pour la mère, cette permission reste accessible aux parents naturels ou adoptifs. Il est, cependant, utile pour s’informer sur le sujet avant de décider d’en prendre ou pas.
Que faut-il savoir ?
Le congé parental n’influence en rien la protection sociale du salarié. Cependant, cela ne peut compter parmi les congés payés. Concernant la retraite, les mois de congé s’ajoutent au nombre de trimestres à valider pour le devis de la retraite. Aussi, l’ancienneté du salarié pèse, soit l’équivalent de la moitié de la durée de la pause.
À souligner que même si l’employer n’est pas rémunéré, il ne peut envisager aucune autre profession, en dehors de l’assistance maternelle. Seuls les formations ou encore les bilans de compétences sont à portée de ses droits, soutient le site Le Mag des Enfants. Autrement, même en congé parental, le risque de licenciement est plausible, un mois seulement, après l’arrivée de l’enfant.
Un congé parental, jusqu’à quand ?
À la fin de la période de renouvellement, l’employer peut à sa guise décider de reprendre son poste. Cela ne nécessite nulle formalité particulière. Il peut reprendre son dernier travail, ou un travail similaire. Lorsqu’il réintègre ses activités professionnelles, l’employeur est, quand même, dans l’obligation de s’entretenir professionnellement avec lui. Cela pour revoir l’essentiel, tels le souci d’une action de formation, ou encore l’évaluation de son évolution professionnelle.